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Archives des billets de l'Audiophile AA anciennement publiés sur l'annuaire apiguide.net, aujourd'hui disparu. (de ce fait les liens externes sont donc en grande partie non actifs)







 



Les archives de l'Audiophile AA
Hi-Fi pour mélomane audiophile:
La musicalité qui ne se mesure pas
(suite)


Mesures & écoute
Mis à jour le
 

Les trois silences de la Hi-Fi

- Le silence ambiant est la première condition requise pour qu'on puisse vraiment écouter sa chaine hi-fi . Une pièce très silencieuse, un appartement ou une maison situé dans un endroit très calme sont les premiers critères d'une bonne musicalité, d'une écoute audiophile. L'isolation phonique est souvent délaissée et l'on a bien tort de la négliger. C'est d'ailleurs intéressant au passage de constater qu'on ne mesure pas drectement le silence mais seulement le niveau sonore du bruit ambiant. C'est donc une mesure toute relative, faite a contrario.
Voir l'échelle des bruits ambiants sur le blog audiophile de AA: cliquez ici

- Le silence relatif ou rapport signal sur bruit. Un deuxième silence est celui dont doivent faire preuve tous les appareils audio en ne juxtaposant pas des bruits, des ronflements ou du souffle au signal musical qu'ils amplifient. De nos jours quasi tous les amplis intégrés sont bons sur ce critère du rapport signal sur bruit, de l'ordre de -90 à -100 dB sur les entrées haut niveau CD, Tuner, Auxiliaire. On verra que les lecteurs CD représentent le maillon faible d'un système audio Hi-Fi en dépit des chiffres.

- Le silence musical. C'est une troisième sorte de silence, qui est probablement la plus oubliée, et qui pourtant est primordiale. Comment une chaine hi-fi reproduit-elle les silences qui émaillent chaque morceau de musique?
Existe-t-il un silence de qualité audiophile?
La question est faussement saugrenue car il y a bien une "haute fidélité du silence". Aucune notice technique des constructeurs n'en parle (ils la passent sous silence dira l'humoriste).
C'est bien sûr ce dernier silence qui fait l'objet de ce billet.

 

La musicalité du silence, son éloquence

   Le silence en matière de reproduction par une chaine hi-fi n'est pas vraiment la simple absence de son. Ce qui pourrait différencier une très bonne chaine hi-fi d'une autre seulement bonne ou moyenne, c'est le silence ou plutôt la qualité de ce silence.

   Le silence du numérique est réputé.
On vous le serine en permanence à grands coups de chiffres mirobolants de rapport signal sur bruit de -90 pour le CD audio à -120 dB pour le SACD. Comme si le silence en matière audio hi-fi c'était seulement du rien, du zéro son. Non le silence en très haute fidélité est tout sauf l'absence de son.

Le rapport S/B mesuré par des appareils n'a strictement aucun, mais je dis bien aucun, intérêt pour le mélomane. Quand le public d'une salle de concert est suspendu aux lèvres d'un (ou d'une) chanteur(se), que l'orchestre fait un silence, une demi pause ou un pause, le silence est profond, d'une noirceur insondable, le public ne respire même plus.
Si on le mesurait à cet instant les chiffres seraient d'ailleurs très médiocres. Le silence est en effet habité de mille bruits quasi inaudibles mais perçus par le cerveau, bruits qui transmettent les dimensions de la salle mais aussi son atmosphère à cet instant précis, l'émotion extrême du suspens, de l'attente, de la tension du public, comme celle de l'artiste et des musiciens. On sent que la chanteuse prend sa respiration plus qu'on ne l'entend. On le devine à distance.
Une chaine hi-fi ordinaire, ou même très chère, qui lit un CD ne transmet alors que... du rien, du vide, du néant, du silence mort. Une très bonne chaine analogique par contre vous transportera sur le lieu même et vous fera partager cet inéffable instant de communion avec les artistes et la musique. Car, oui, le silence est vivant.

Petite pause musicale


Le disque noir vinyle était très peu performant, bien moins que le PCM, et en particulier sur le rapport signal/bruit mesuré. Bruit de sillon, craquements, rumble, pétillements, excursion maximale de la gravure fixaient ses limites à un niveau assez bas. Il était pourtant pour le mélomane autrement plus qualitatif que le CD sur les silences musicaux. C'est un fait et tant pis pour les appareils de mesure qui disent le contraire.

On peut tirer de ce constat deux enseignement;
   - L'analogique est capable de quantifier l'extrêmement petit, quasi à l'infini, c'est plutôt sur le hauts niveaux sonores et la complexité orchestrale qu'il atteint vite ses limites. L'analogique ne pêche pas tant qu'il reste sur la bande magnétique master, mais on a en effet du mal à graver ensuite un sillon qui restitue la variété instrumentale d'un grand orchestre, et qui plus est, lors d'un passage à fort niveau.
   - Le numérique est au contraire à même de bien reproduire les niveaux sonores les plus élevés mais par contre plus on descend dans l'échelle sonore, moins la quantification est précise, plus elle omet de l'information, la remplaçant par du... rien ou presque. Ce "presque" étant lui même masqué par le bruit de quantification.
L'analogique serait mieux armé pour saisir les infimes variations proches du silence quand le numérique est performant pour restituer toute la richesse d'un tutti orchestral fortissimo.
Bien que noyées dans le bruit du microsillon, les micros informations qui peuplent le silence sont tout de même décryptées par le cerveau qui parvient sans difficulté à les extraire du souffle. Avec le numérique il n'y a pas de bruit, pas de souffle, certes, mais pas non plus de micro informations extractibles par le cerveau, du moins en l'état du 16bits 44,1 kHz lu sur un CD.

Des faiblesses des deux côtés? Voire!

   La faiblesse de l'analogique sur les tutti n'est pas en fait une grosse gêne, ce qui compte c'est plus la façon d'amener à ce tutti que son niveau absolu final exprimé en dB. Ce qui est plus gênant ce que nombre de tutti finaux se situent en fin de sillon du disque noir, avec une vélocité réduite et une capacité de gravure/lecture médiocre. Plus on se rapproche du centre du disque vinyle et plus la vitesse linéaire se réduit, réduisant drastiquement la bande passante.

   La faiblesse du numérique sur les silences n'est pas non plus irrémédiable. En effet la psychoacoustique vient à notre rescousse et le SARD++ permet de retrouver sur un fichier PCM wave 16 bits 44,1 kHz toute la gradation subtile du silence habité, vivant. Oui, on a alors avec numérique lu en dématérialisé vrai le beurre et l'argent du beurre. L'infiniment subtil et le colossalement grand, impérial, alliant ainsi les points forts de l'analogique avec ceux du numérique. (voir Note 1)

Relire le billet de Décembre 2009 (cliquez ici)
et celui de Septembre 2011(cliquez ici)

Petite pause musicale

Silence et musique sont inséparables.

   La musique n'existe que parce que le silence lui préexiste. C'est le tableau noir sur lequel s'écrivent les notes à la craie blanche. En musique, ce sont les silences qui ponctuent et donnent à la partition sa structure, son harmonie, son rythme. Et cela va au delà du simple jeu de la musique. Ainsi peut-on dire que le silence qui suit la musique de Mozart, c'est encore du Mozart. Au théâtre, au cinéma, on sait bien ce qu'est un silence éloquent, approbateur, rébrobateur, dubitatif, interrogatif, narquois... En jazz on sait à quel point un break réussi emporte l'adhésion de l'auditeur quand la reprise est parfaite, à l'unisson. C'est un silence introductif.
   En classique nombre de silences sont bien plus que l'absence de musique. C'est un temps salutaire d'intégration du message par l'auditeur et de préparation mentale à ce qui va survenir. Une sorte de prise d'élan. Le calme qui précède la tempête, en musique, participe à la violence de celle-ci. Le silence "d'assimilation" du discours, après coup, comme le silence "préparatoire" au discours suivant sont en réalité riches de contenu et pas du tout vides de sens. Ce sont ces silences qui donnent justement du sens à tout le reste.

   Le silence en musique possède l'autre particularité d'être élastique, variable dans le temps. Un silence peut sembler très long comme il peut paraitre extrêmement bref alors que tous deux seront chronométrés à la même durée, tout dépendra de l'interprétation et de la partition, au delà de la notation musicale, pause, demi-pause, soupir etc. C'est la preuve que le silence est essentiellement subjectif, lié à sa perception humaine.

Comment définir le court instant qui précède certaines notes, surtout en chant, je dirais qu'il contient un devenir, qu'il est prémonitoire et donc actif, faisant participer l'auditoire à ce qu'il est venu écouter. Il y a osmose, communion. C'est cela la Musique avec un grand M. Sans parler bien sûr de toutes les finesses du chant qui jouent avec le temps, comme le legato ou son contraire le staccato.

   Faut-il enfin rappeler que le silence n'existe pas dans la nature. Le seul vrai silence, c'est celui de la mort, de la non perception. En fait quand un homme ou femme parle du silence, il parle d'un niveau très bas de bruit ambiant et c'est toujours très subjectif... donc vivant.
L'expression "un silence de mort" est explicite et donc parfaitement justifiée.

Les talons d'Achille du numérique

Le numérique présente deux grosses faiblesses vis à vis du silence de qualité audiophile:
   - La première est le bruit de quantification. Plus les niveaux enregistrés sont faibles plus ce bruit numérique devient nuisible, nocif. On s'en affranchit assez bien par le traitement psychoacoustique de dithering virtuel du SARD++ en lecture dématérialisée vraie.
   - La seconde est la forte sensibilité du numérique aux perturbations électromagnétiques ambiantes, filaires et aériennes, qui constituent autant de micro grains de sable temporels qui s'insinuent dans les délicats rouages d'une pendule de précision, qui du coup est beaucoup moins précise. Balayer ces grains de sable CEM et autres PNI, c'est en grande partie ce que fait l'euphonisation. Ces deux écueils étant levés, alors le numérique PCM 16/44,1 bat à plate couture l'analogique même à son plus haut niveau et pour un coût en matériel infiment plus raisonnable, à la portée de toutes les bourses.

Les talons d'Achille des musiques modernes

   - Un premier talon s'appelle la compression de dynamique. C'est une technique qui vise à diminuer l'écart entre les niveaux sonores les plus bas et les plus forts. Bien sûr en remontant le plancher des signaux faibles pour les amener au plus près d'un plafond lui même remonté près du maximum techniquement possible. La dynamique de la radio, par exemple celle des stations surtout destinées à l'écoute avec un autoradio, est ainsi réduite à 5 ou 6 dB. On a pratiquement fait disparaitre au passage la notion de silence musical, on a fait disparaitre toute nuance. Le son est fort à jet continu, tout le temps, mais du coup audible dans une circulation bruyante, plus le bruit du moteur, des pneus et de l'écoulement de l'air. C'est un procédé qui tend en quelque sorte à faire disparaitre le silence. La musique de variété, pop, Rock etc. gravée sur CD audio est ainsi souvent comprimée avec une dynamique réduite à une vingtaine de dB, c'est à peine mieux que la radio. Mais de bons enregistrements en classique offrent souvent des dynamiques utiles de l'ordre de 60 dB.  

   - Le second talon d'Achille de la musique moderne est la compression des données numériques avec pertes, en AAC, en mp3 ou en wma. La musique à très faible résolution perd sa variété, sa spécificité, ses nuances, son âme. C'est une tendance qui vise à lisser le message en ne gardant plus qu'une enveloppe vide de continu mais dont la perception peut sembler plus claire car plus simpliste. Les musiques modernes présentent aussi la particularité d'être fabriquées à base d'électronique et d'informatique. Il n'y a donc pas de son de référence qui puisse dire où est la vérité. La notion de haute fidélté n'y a plus de sens, fidélité à quoi? Le son est entièrement produit et non émis par un instrument de musique traditionnel dont on connait bien la signature sonore, le timbre, l'attaque, le type de jeu qu'il implique.

    Et le grand public s'est habitué à ces deux compressions, à la fois de dynamique et de contenu, au point désormais de préférer ce flot sonore médiocre à la vraie musique. Son oreille en s'habituant à ces musiques a formé un goût autre et probablement une inaptitude à s'en affranchir. Relire la parabole de l'âne et du son (cliquez ici)
L'étalon qualitatif général d'une chaine hi-fi est désormais celui de la low-fi, de la basse fidélté, mais en revanche mobile, sans fil, partout et tout le temps. On vote désormais pour la quantité et l'omniprésence et non plus pour la qualité. Le grand public a fait son choix et du coup l'offre commerciale l'a suivi. Vox populi, vox dei.
   Très peu pour moi, merci. Et s'il ne doit rester qu'un seul dinosaure mélomane audiophile, j'assume ce rôle sans le moindre regret.


Petite pause musicale


Note 1 - La faiblesse du numérique outre la quantification réduite aux bas niveaux tient aussi aux déphasages engendrés sur toute la bande audible par un filtre passe-bas à pente ultra raide qui est censé couper tout ce qui se situe au dessus de 22 kHz. Cette réjection violente implique de très nocifs effets pervers sur la phase entre 5 kHz et 20 kHz, sauf à concevoir un filtre très coûteux. C'est le grand intérêt du suréchantillonnage quatre fois à 176,4 kHz (4 x44,1 kHz) que de remonter ce filtre passe-bas beaucoup plus haut en fréquences et d'éviter ainsi les dommages collatéraux sur le spectre audible.
Pour en savoir plus, lire: "DAC avec suréchantillonnage et filtre d'interpolation"

Les bidouilles de l'Audiophile Apiguide

Pratiquement les inventions de l'Audiophile Apiguide (AA) sont toutes non mesurables à ce jour par des instruments. Peut-être à l'avenir trouvera-t-on le moyen de les mettre en évidence, de les quantifier autrement que par l'écoute. Mais pour l'heure l'effet bénéfique sur le rendu sonore en Hi-Fi stéréo est parfaitement audible, pour le plus grand plaisir du mélomane, et c'est bien cela qui compte et non de faire réagir une aiguille sur un appareil.

... voir lexique

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Les fichiers de
l'Audiophile Apiguide

plus de 5000 photos, images ou schémas
plus de 900 pages html
plus des applications, des feuilles de calcul .xls, des vidéos...

Un somme de 40 années de recherches de la musicalité en matière de reproduction sonore

et des mises à jour téléchargeables
 




Extraits du
guide de l'euphonie

 


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SARD = Super Audio Ram Disk (par analogie avec le Super Audio Compact Disque)
Un RAM-disque est un disque virtuel qui utilise une partie de la mémoire centrale de l'ordinateur, la mémoire vive, en tant que mémoire de masse, une fonction habituellement effectuée par les disques durs. Les temps d'accès sont grandement améliorés, car la mémoire vive a un temps d'accès approximativement 1000 fois plus court que les disques durs. Ils sont cependant limités par la taille de la mémoire centrale. Pour chaque session musicale, le fichiers audio y sont placés pour y être lus.
[suite...]

What's SARD ?

Super Audio Ram Disk is an audiophile Hi-Fi treatment that can be done on any simple 16 bits, 44.1 kHz, wav file ripped from any good Compact Disc Audio or hybrid SACD... [more...]

Le SARD en bref:
1) Ripp CDaudio => Disque dur 16b/44.1kHz
2) Conversion 32bits/44.1kHz
3) Réduction en 16b/44.1kHz avec ajout de dither triangulaire 0.7 bit
4) Montage du fichier audio obtenu en Ramdisk NTFS formaté en 64 Ko
5) Lecture par player 32bits , rééchantillonnage 176.4kHz

NB. Ces opérations sont automatisables en traitement par lot ( batch processing )



L'ultime qualité audio
SARD+ et SARD++
Même configuration que ci-dessus pour le SARD, mais avec un Ramdisk monté en exFAT (FAT64) et formaté en clusters de 512 Ko (script fourni)

Le rappel des priorités
aux mélomanes audiophiles

   Dans tout système audio Hi-Fi il convient de particulièrment soigner d'abord la source. Or la source la plus en amont, à l'origine même du son, c'est le courant secteur, phase neutre et terre.

Ensuite vient la source musicale elle-même, et il ne s'agit pas du CD audio ou du SACD. Non il s'agit du phonogramme lui-même, lui aussi situé en amont du CD ou du SACD, récupéré de son support matériel.
Ce phonogramme sera donc extrait(*), traité et lu dans les conditions les meilleures, débarrassées de toute contingence matérielle mécanique et optique, Laser compris.

Tout à l'autre bout de la chaine hi-fi, ce qui est tout aussi primordial est ce qu'il advient du son émis par les enceintes acoustiques, juste sorti des haut-parleurs.

Avant d'arriver aux oreilles de l'auditeur, le son subit l'influence, énorme, de l'acoustique de la pièce, et moins connue, plus subtile mais tout aussi pernicieuse, l'influence du milieu aérien, par voie moléculaire et électromagnétique.

Seule l'euphonisation permet d'harmoniser tout ceci, de A à Z , pour que la musique redevienne vivante.

(*) Procéder à l'extraction audio numérique (DAE en anglais, digital audio extraction) du phonogramme n'est pas aussi aisé et aussi bit-perfect que les gens croient. Le rippeur Phi² audiophile slim et sa technique d'euphonisation montrent bien que les méthodes de rippage avec comparaison de type "Accurate rip" sont loin d'extraire vraiment la totalité du discours musical, la totalité du phonogramme master. Ce n'est pas parce qu'on a fait la même chose que d'autres que pour autant on a la perfection.


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